C'est en Ville - Cascadeur et comédien, Jamel Blissat n'a peur de rien !
Cinema – Après quelques années de danses et d'entraînements, Jamel Blissat vit aujourd'hui de son métier de comédien – cascadeur.
« On m'a toujours dit qu'un cascadeur qui n'a pas peur est un cascadeur mort », Jamel Blissat.
Crédit : Fabien Mancel
Né à Chenôve, Jamel Blissat découvre le breakdance à 14 ans, avant d'intégrer la troupe « Figure 2 style ». D'abord pour le plaisir, il se professionnalise ensuite et participe aux championnat de France à 20 ans. Se classant deuxième, à deux reprises, il remporte cependant, avec son équipe, le meilleur show en 2007 et une place pour les championnats du Monde à Séoul. En parallèle, il rencontre Stéphanie Chaudesaigues qui lui donne envie de faire du théâtre et d'intégrer la compagnie Hautnah.
Onze participations à des projets artistiques
Après plusieurs participations à de petites pièces, il joue sa première scène professionnelle en interprétant, avec Benjamin Mba, « C'est quoi ton nom », de Jean Michel Baudoin, mis en scène par Stéphanie Chaudesaigues.
Aujourd'hui, Jamel Blissat s'est tourné vers le cinéma en choisissant le métier de cascadeur. Cette passion, il la doit à Jamel G Bride. « Ce cascadeur m'a vraiment formé au métier. Depuis, on a monté un groupe de huit cascadeurs. On s'entraîne deux fois par mois à Paris et on réalise des projets. Nous voulons travailler en équipe comme les Britanniques. » Mannequin pour l'agence parisienne « Sport Model » en parallèle, Jamel Blissat est un homme heureux. Avec onze projets cinématographiques et des nombreuses publicités à son actif, il ne veut pas s'arrêter là. Des idées pleins la tête, il confie être « en préparation d'un show pour l'émission La France a un incroyable talent avec [son] équipe ».
Bio Express
29 avril 1986 : Naissance à Chenôve
2007 : Championnat du Monde de Séoul : il ira jusqu'en huitième de finale
2011 : Premier rôle dans « Mariage Blues », de Touria Benzar
2013 : Jamel Blissat réalise sa première série « Comédien pour les nuls »
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Article paru le 20 avril dans C'est en Ville.
